Alexandra TOLSTOY, 4 amazones et la Route de la Soie.

"All decided that I should not ride that day but travel in the back-up truck... Answers came back reassuring us that I was taking the good antibiotics and that is was only a mattter of time before I would get better...

I was miserable travelling in the truck that day... I decided that the following day, what ever I felt like, I would start riding again...."

"Toutes décidèrent que je ne devais pas aller à cheval ce jour-là mais voyager dans le camion de secours ... Les réponses sont revenues nous rassurer que je prenais les bons antibiotiques et que ce n'était qu'une question de temps avant que j'aille mieux ...

J'étais malheureuse de voyager dans le camion ce jour-là ... je décidai que le lendemain, quoique je ressente, je recommencerais à monter à cheval .... "

Mais les autres avaient une idée différente... disant que j'étais stupide de ne pas me reposer...

Cependant, je fus très contente d'avoir tenu envers et contre toutes parce que ce jour-là, me montra des plus merveilleux...

Le ciel gris du matin s'était dégagé, permettant au soleil d'illuminer une mer éblouissante de collines verdoyantes, couvertes de tulipes rouge vif et de coquelicots, de boutons d'or jaunes et de primevères, de campanules bleues, de myosotis et d'iris. La beauté de la scène était si écrasante que Wic se demandait à voix haute si les bergers que nous avons rencontrés ont les collines à eux ou si, comme nous, ils ne s'en lassent pas.

Sur le sommet des plus hauts sommets se tenait des cairns faits par les habitants pour l'orientation. Nous avons dépassé un berger à cheval auquel Shamil demandé les directions. Il a commencé par nous mystifier complètement pendant un moment, quant à savoir qui nous étions, il a ensuite désigné la direction avec son fouet en cuir, vers la vallée.

Au pied des collines il y avait des villages en pisé. Leurs maisons de boue cuite étaient dispersées à travers les fonds de vallée. Certaines maisons étaient couvertes de toits de tôle, d'autres de chaume, les murs cimentés par des touffes d'herbe. L'ancien signifiait la richesse des propriétaires. Les petites rues poussiéreuses étaient inondées de fleurs et de feuilles vert vif.

Peupliers, saules, abricotiers, pommiers et muriers, arbres dégoulinant de fruits remplissaient les jardins petits mais verdoyants.

Comme nous passions, les habitants venaient regarder par la fenêtre, derrière les portes, les clôtures maintenues ensemble partout par de la ferraille. Ils regardaient sans honte notre procession inhabituelle. Arrêtant pour acheter du lait, nous avons reçu de nombreuses invitations à boire le thé de ces gens extrêmement accueillants.

Maintenant, après avoir connu quelques jours de chaleur torride, nous étions tout à coup engloutis par des torrents de pluie incessante.

Chevauchant plus loin à travers la steppe, nous sommes passés à travers les scènes les plus idylliques de la vie pastorale : des troupeaux de moutons et de chèvres angora et astrakan et des bergers incongrus vêtus de kagouls.

Souvent leur curiosité les a conduits à nous suivre pour un mile, abandonnant en passant leur travail.

Pendant ce temps nous avons atteint les faubourgs de Samarkande, ... je commençais à aller mieux... Abbas était évaporé de mon esprit et, malgré ses commentaires, les charmes de Shamil avaient ma préférence...

1er juin 1999 ?

Après huit jours de cheval depuis Boukhara, pendant dix miles, la paix et la simplicité de la vie rurale ont fait place, de façon spectaculaire, au tumulte de la ville .

Lorsque Nous avons pu chevaucher pas plus loin dans la ville, nous avons mis pied à terre pour garder nos chevaux; Shamil, instantanément, est devenu très méfiant. "Ces gens sont des sauvages,» dit-il. "Les villes sont où les civilisations se terminent et où le crime commence."

Nous avons gardé nos yeux fermement sur ​​nos sacoches tout en conduisant les chevaux à un autre hippodrome accueillant.

"Welcome the bravest girls to Samarkand ! " cried Max, our city guide, enthusiastically. Like most Russians, he could not understand the attraction of riding along the Silk Road. Living in the open and travellin on horseback represent normal life to local Uzbek farmers, but to the urban Russian population in Uzbekistan these appear uncivilised habits.

Max asked us incredulously why we wanted to spend eight months of our lives in such "undevelopped" countries when we could be lying on the beaches of the French Riviera...

"Bienvenue les braves filles à Samarcande!" Cria avec enthousiasme, Max, notre guide de la ville, . Comme la plupart des Russes, il ne pouvait pas comprendre l'attrait de chevaucher le long de la Route de la Soie.

Vivre en plein air et voyager à cheval représentent la vie normale normale pour les agriculteurs ouzbeks locaux, mais pour la population urbaine de Russie en Ouzbékistan semblent habitudes ça semble des usages non civilisés.

Max nous a demandé, incrédule, pourquoi nous voulions passer huit mois de notre vie dans ces pays "sous-développés" alors que nous pourrions nous reposer sur les plages de la Côte d'Azur ...

Samarcande m'apporte plus de romance que Paris ou Rome. Son nom véritable suggère l'aventure, l'intrigue et le mystère de l'Orient ...

Revisitons SAMARCANDE