« Tu n’as pas vu, enfin, les yeux noirs et perçants de Mussolini ? Tu aurais pu les voir si nous étions arrivés huit jours plus tard, pendant une réunion de courses au trot à la villa « Glory », comme il m’y avait conviée hélas, mais je n’ai pas accepté.
« Les Italiens, vois-tu, mon grand docile, ne savent pas désobéir à leur dictateur ; et moi, Française, parce que j’ai décliné son invitation je conserverai en mon cœur un impérissable regret ! »