Mule de gonzesse de loisirs

c'est vrai que ca a l'air pas mal une mule...

j'peux pas voir l'image !

Fais un copier-coller de l'adresse dans ta barre d'adresse justement. Comme ça ça marche

Excellent ! J'adore aussi l'ombrelle

la photo est terrible !! ça fait presque penser à la ruée vers l'or

excellent

Sur un site "spécial mule", j'ai trouvé une autre photo de mule en amazone mais je pense que c'est la même cavalière que présentée par Emmanuelle :

http://www.ptitcoton.ch/Default.aspx?tabid=86

photo 5

Oui, ça y ressemble fort !

Sinon, voilà des nouvelles du Grand Ness. Dans une semaine c'est le tour de Malika ! Parce que j'ai déjà des commandes pour labourer des jardins...



Qu'il est sage ! C'est juste sa deuxième fois !

Pour le fun, un extrait du livre d'Adolphe Guénon (vétérinaire dans l'armée française à l'époque de la colonisation) "la Grande Histoire du Mulet" :
"Pour une cause quelconque, chargement mal brêlé, terrain glissant ou mouvant, vient-il à rouler ? Voici ce qu'on observe : sans faire de mouvement brusque, il s'efforce de se retenir, puis se penche du côté opposé à l'abîme. Enfin, quand ses efforts restent impuissants, il rassemble ses quatre membres en les fléchissant sous le corps, ramène la tête près du poitrail et, formant boule comme une hérisson, il tombe et roule.
Quand la pente sur laquelle il dégringole n'est pas trop raide, dès qu'il est arrêté, il reste immobile, allongeant seulement la tête pour cueillir quelque touffe d'heube, et attendant patiemment pour se relever que sa charge soit retirée

Y'a au moins quinze anecdotes de ce genre dans ce bouquin...

heu, "il tombe et roule" avec son chargement ??
pas des tendres les milis !!

Oui !!!
Dans des conditions semblables aucun cheval ne s'en sortirait vivant. Tout autre animal serait embarrassé de sa cargaison. Notre porte-bât, toujours malin, s'en fait une cuirasse protectrice, une sorte de carapace.
De temps à autre, écrit le docteur Hocquard, lors de l'expédition de Madagascar, une voiture Lefèvre (petite charrette à deux roues employée au transport) dégringole dans la vallée avec tout son chargement. Les mulets ne se font presque jamais de mal. Quand, après les culbutes les plus extraordinaires, on va les chercher au fond des ravins, on les y trouve en train de brouter l'herbe le plus tranquillement du monde. [...] Ils savaient tomber et rouler au fond des ravins d'une si habile façon que même pour les coffres chargés d'obus à mélinite qu'ils portaient, il n'en résultait ni dégradation, ni accidents."

Y a pas à dire , elles sont malines

ou bien l'Adolphe était un inconditionnel de la mule ou bien il extrapole un brin...ou les deux d'ailleurs ....
Enfin j'aurais pas aimé être une mule de sa garnison à cette époque ... Parce que les roulés-boulés dans les ravins, non merci !