Pas moins de 5.000 m2 d'exposants, plus de 10.000 visiteurs attendus sur trois jours et des animations permanentes pour un salon du cheval très grand public.
Châlons va fêter comme il se doit l'animal lors du salon Équi Champ', tout premier salon du cheval qui se tiendra les 16, 17 et 18 octobre 2009 au parc des expositions.
« Nous souhaitons inscrire Châlons comme l'un des grands rendez-vous nationaux équins ; il se fera avec professionnalisme », explique Bruno Forget, « patron » de l'UCIA. Associée à Jean-Marc Chauveau, président de l'association Athacanèse, organisatrice de concours hippiques, l'UCIA souhaite mettre sur pied… ou sur sabot, un rendez-vous de qualité devenant vite incontournable.
« La Champagne est l'une des régions leaders en France en terme de potentialités pour la filière équine. Organiser un tel salon à Châlons, dans la capitale régionale, tient de l'évidence », expliquent les deux opérateurs, satisfaits de présenter un pré-programme riche, ne serait-ce qu'en terme d'animations.
Beaucoup de surprises
Durant ces trois jours, le cheval sera donc fêté par tous les professionnels, éleveurs, cavaliers et licenciés en équitation, mais également par le grand public, car Équi Champ' veut profiter de l'enthousiasme qui règne autour du cheval pour ouvrir la discipline au plus grand nombre possible. Outre les concours de sauts d'obstacles amateurs et professionnels, la promotion des chevaux de trait champardennais ou encore la présentation d'attelages western, petits et grands pourront profiter d'une foule d'animations, et ce, qu'ils soient cavaliers ou non.
Effectivement, sur la piste centrale de 70 X 35 mètres, deux grands spectacles équestres seront programmés, mais aussi un concours de haut niveau, du horse-ball et bien d'autres surprises à venir.
Connaisseur des salons de ce thème, Jean-Marc Chauveau a pris la température sur le salon de Paris, Chevalissimo à Nancy ou encore sur celui d'Avignon réputé pour ses animations. « Nous ne voulons pas un salon monocolore. Nous souhaitons nous démarquer », finit Bruno Forget, à la tête d'un événementiel dont le visuel est tiré d'une œuvre d'Harry Guzzi, artiste dans le secteur, très coté.